Les grands bateaux d’aujourd’hui semblent se déplacer dans univers de plus en plus mathématique.
Les élements sont digitalisés tandis que les bateaux avancent comme des spectres dans la lumière, l’eau et le vent
Tout bouge dans ce tableau et en même temps l’ensemble devrait paraître suspendu comme quand, au milieu d’une manoeuvre délicate, on a l’espace d’un éclair le sentiment d’un étirement complet de sa présence au monde.
D’une certaine façon c’est aussi un hommage à Seurat, dont on dit que les points dansent… Que dirait-il s’il les voyait danser vraiment ?